18 janvier 2019
Maladies environnementales
La Chélation, une thérapie d’avenir indispensable
Qu’entend-on par maladies environnementales ?
Ce sont les maladies dont l’origine se trouve dans une ou plusieurs pollutions de notre environnement. Parmi ces maladies, qui sont en constante augmentation, on retrouve des cas de fibromyalgies, de fatigue chronique, de dépressions, d’infections chroniques, de mycoses récidivantes, d’électro-sensibilité, de maladies auto-immunes, de scléroses en plaques, d’autisme, de maladies d’Alzheimer et de cancers.
Elles ont toutes une particularité commune c’est un affaiblissement du système immunitaire et donc la porte ouverte aux virus, aux bactéries, aux mycoses, aux maladies auto-immunes et aux cancers. Cet affaiblissement est une des conséquences de la pollution de l’eau, de l’air, de la nourriture qui n’ont jamais contenu autant de métaux lourds et de résidus de pesticides dans toute l’histoire de l’humanité. Plus personne n’échappe aujourd’hui à la pollution environnementale.
La toxicité des métaux lourds, associée à une susceptibilité génétique individuelle, semble, en effet, responsable de la progression vertigineuse de ces troubles.
Voici ce qu’en disait Gilles-Eric Séralini, Professeur de biologie moléculaire à l’Université de Caen :
« Nous devons comprendre les effets combinés et à long terme, des polluants dans notre organisme. Lesquels sont probablement à l’origine de 80% des maladies qui mineront la santé humaine au cours du 21ème siècle. Notamment des cancers et des maladies hormonales. (…) NOS CORPS SONT DEVENUS DES ÉPONGES À POLLUANTS.
On trouve dans les gènes de fœtus humains, comme j’ai participé à l’établir plus de 400 polluants : Hydrocarbures, dioxines, pesticides, résidus de plastique, de colle, d’encre d’imprimerie… »
Les métaux lourds sont toxiques voir extrêmement toxiques et le pire est le Mercure.
Une vidéo, très impressionnante tournée à l’Université de Calgary (vidéo : How Mercury causes Brain Neuron Degeneration) montre comment le Mercure détruit le système des tubulines dans le système nerveux. L’énorme toxicité du Mercure a été mise en évidence, pour la première fois, à grande échelle, au Japon dans la baie de Minamata. Que s’est-il passé ? En 1932, une fabrique d’engrais chimiques, l’usine Chisso, s’installe à Minamata, baie tranquille peuplée de pêcheurs. Les pêcheurs ignorent tout des activités de l’usine et ne savent pas que c’est un poison toxique qu’ils remontent dans leur filet. Au fil des années, on assiste à d’étranges phénomènes. Les chats qui se nourrissent des restes de la cuisine humaine se mettent à tituber à avoir des comportements complètement anormaux. Certains, même, se jettent à la mer. Dans les années 50, on commence à voir apparaître d’étranges maladies dans les familles de pêcheurs. Convulsions, tremblements, mouvements involontaires, troubles oculaires et auditifs, démarche chancelante, fatigue etc. Les mères donnent naissance à des enfants lourdement handicapé. Les médecins s’interrogent. Pendant des années la clé du mystère reste entière. Le mal étrange persiste. Des bébés naissent avec des anomalies chromosomiques et de graves malformations. Ceux qui semblent indemnes a la naissance, ne se développent pas normalement, ont des gros retard de langage, de troubles de la coordination et des repli sur soi confinant à l’autisme. Le phénomène s’accentuant, l’usine Chisso procède secrètement à leurs propres expériences. En nourrissant des chats avec des coquillages ayant la particularité fixer les métaux lourds, ils ont la confirmation que c’est bien le Mercure qui est à l’origine de tous ces troubles. Mais ils choisissent de se taire. Ce n’est qu’en 1959 que l’on finit par identifier le responsable: 27 tonnes de Mercure déversés dans la mer par l’industrie de l’usine. Par le biais de la chaîne alimentaire le niveau de Mercure, dans les poissons, était dans certains cas plusieurs milliers de fois supérieure à celui de l’eau dans laquelle ils vivaient.
Certains médecins dont le Dr Melet, dans les années 80, ont pris conscience du danger du Mercure que les dentistes ont mis dans les dents pendant des décennies en pensant que ce métal n’était pas nuisible dès lors qu’il était » amalgamé » et que par conséquent il ne bougeait plus. De nombreuses études ont démontré que ce n’était pas le cas. Il suffit de mettre un amalgame comportant un radio-isotope à un animal et de rechercher, dans les jours qui suivent, le radio-isotope dans le sang et les urines. En sachant que le Mercure ne perdure dans le sang que 24 à 48 heures. Après, ou, il a diffusé dans les tissus ou il a été éliminé par les émonctoires naturels, les reins et les intestins.
Deux livres majeurs dans l’histoire du traitement de l’intoxication au Mercure, ont été consacrés à ce Dr Melet et à ses résultats spectaculaires grâce à la chélotherapie dans les cas d’intoxication par le Mercure. Ces deux livres remarquables, ont été écrits par Madame Françoise Cambayrac. Ils s’appellent : « Vérités sur les maladies émergentes » et « Maladies émergentes, comment s’en sortir ». De nombreux passages de cet article sont extraits de ces deux livres. Les maladies émergentes sont les maladies environnementales citées préalablement.
Le Dr Sittided Reymond, neurologue à Sion, écrit ceci, le 15.11.2018, au Professeur Thierry Buclin, professeur de pharmacologie et de toxicologie clinique au CHUV :
« J’ai commencé un dosage systématique des pesticides chez les malades neurologiques n’ayant a priori AUCUN FACTEUR DE RISQUE habituel, pas de tabagisme, pas d’alcoolisme, pas de médicaments particulièrement toxiques,pas de sédentarité et pour la plupart une bonne hygiène de vie et peu de prédispositions génétiques aux maladies (pas d’antécédents familiaux).
Il s’agit de maladies ou de symptômes très divers allant de formes inflammatoires dégénératives de polyneuropathies, des SEP etc. Les analyses, grâce à Monsieur Nicolas Donzé, envoyées à l’Université de Liège chez le Professeur Carlier, confirment LA PRÉSENCE DE NEUROTOXIQUES CHEZ TOUS LES MALADES, des organophosphorés, des organochlorés, des résidus de TCPY, des PCB et autres. La mise en évidence de résidus de pesticides et autres SUBSTANCES NEUROTOXIQUES, IMMUNOTOXIQUES, CANCÉRIGÈNES, MUTAGÈNES, REPROTOXIQUES, PERTURBATEURS ENDOCRINIENS évoque,pour moi, la possibilité que certains symptômes ou maladies, comportent bien, une ORIGINE ENVIRONNEMENTALE. Même si, la plupart des valeurs, prises isolément, ne sont pas alarmantes, le cumul de ces substances participe à l’EFFET COCKTAIL et pourrait bien chez certaines personnes constituer un facteur de risque modifiable des maladies. »
La chélotherapie, qui consiste à attraper les métaux lourds, tel que le Mercure et à les faire sortir du corps par les émonctoires, (.urines et selles) trouve donc toute sa place et son sens dans les écrits du Dr Sitthided Reymond. La chélotherapie, comme son nom l’indique est une thérapie, elle permet d’éliminer les substances neurotoxiques, immunotoxiques et cancérigènes mais de surcroît, elle permet la mise en évidence d’une intoxication.
Aucune autre méthode ne permet cette évaluation. La recherche de métaux lourds, sans utiliser de produits chélateurs, dans les urines, dans le sang ou dans les cheveux ne permet pas d’éliminer une suspicions d’intoxication sauf peut-être dans les 48 heures qui suivent une intoxication sévère. En effet dans le grand livre du Professeur Van der Schaar, directeur de l’IBCMT (International Board for Clnical Métal Toxicology) il est bien précisé que le Mercure ne perdure pas plus de 48 heures dans le sang et par conséquent dans les urines. Après, ou bien, il a diffusé dans les tissus ou il est éliminé par les voies naturelles. Pour aller chercher les métaux lourds dans les tissus et ainsi faire une évaluation correcte de l’Intoxication, il n’y a que les produits chélateurs qui peuvent le réaliser. Il n’y a pas d’autre alternative. À la rigueur, on pourrait faire des prélèvements dans certains organes. Si cela concerne le cerveau, cela risque d’être plus compliqué.
Parmi les produits chélateurs, le plus utilisé est le DMPS. Dans une lettre du 23.10.17. le Professeur Thierry Buclin fait état du fait que le DMPS est un produit qui figure dans la liste des antidotes officiels suisses, dans l’indication d’intoxication par le Mercure et d’autres métaux lourds.Au CHUV, c’est le produit Dimaval qui est utilisé.
D’aucuns, ont argué du fait que ce produit était réservé aux intoxications aigues. Mais, qu’une intoxication soit aigue ou chronique, elle reste une intoxication et elle mérite d’être traitée en tant que telle. Par ailleurs, le DMPS est utilisé par plusieurs médecins et cliniques en Suisse et il est en vente dans la plupart des pharmacies.
Un centre médical de détoxication utilise ce produit chélateur depuis des années et fait faire les analyses des métaux dans le plus grand laboratoire d’Europe en la matière Micro trace Laboratory. Les mesures faites dans les urines, à blanc, sans produit chelateurs ou avec chélateurs montrent bien des différences très significatives.
Les examens des urines, pour les patients ayant des symptômes pouvant correspondre à une intoxication aux métaux lourds ont révélés des taux impressionnants de Mercure de Plomb et d’Arsenic. Les résultats pour 1959 échantillons analysés par le laboratoire Micro Trace entre 2008 et 2018 ont été les suivants :
Arsenic : valeur moyenne 24, écart type 83, valeur maximale 1490 alors que la valeur normale est de 15.
Mercure : valeur moyenne 12, écart type 24 , valeur maximale 538, valeur normale est 1.
Plomb : valeur moyenne 16, écart standard 18, valeur maximale 334. Valeur normale 5.
toutes ces valeurs sont en microgrammes/ grammes de créatinine)
Il est tout à fait remarquable de constater que dans tous les échantillons examinés les résultats mettent en évidence une intoxication aux métaux lourds.
Cette constatation rejoint celle du Dr Reymond Sitthided qui lui retrouvait des taux de NEUROTOXIQUES chez tous ses patients neurologiques.
Le Dr Daunderer, médecin allemand et toxicologue de grande renommée a affirmé : « il convient de traiter l’accumulation de substances toxiques dans les organes par l’administration d’un contre poison et de mesurer simultanément l’élimination urinaire. Le seul traitement approprié est le DMPS. »
LE DMPS est un excellent dépolluant du Mercure qui a un long passé d’innocuité depuis cinquante ans.
Le Dr Melet dépolluait des bébés de quelques mois avec ce formidable contre poison.
Le Dr J. Mutter, écrit en 2000, dans « l’Amalgame dentaire, un risque pour l’Humanité « : » si le DMPS est administré fréquemment, les améliorations cliniques, chez les patients, sont frappantes. »
Schaefer et son équipe à Mannheim en 1994 dans « Lehrbuch der Toxicologie », ont démontré par leurs travaux, que le DMPS désintoxique tous les organes du corps.
De nombreux témoignages nous ont confortés dans l’idées que la chélothérapie est indispensable. Parmi ceux-ci nous pouvons citer les cas suivants.
Le premier témoignage est celui de la mère d’une enfant autiste :
« Bonjour,
J’aimerais vous remercier personnellement pour votre aide à ma fille de 4 ans Amélie. Ma fille a été diagnostiquée TSA fin 2015 et c’est grâce à votre clinique de détoxication des métaux lourds qu’aujourd’hui elle n’a presque plus de symptômes de cette maladie.Elle parle (elle était non verbale) elle regarde dans les yeux ,elle ne fait plus de crises et joue avec d’autres enfants à l’école normale.Elle fait même des cours de danse.
La plupart de ces résultats sont apparus avec la chélation que l’on a fait chez vous.
Merci beaucoup pour votre travail et votre aide
Cordialement, L.W. »
Le second concerne un cas de syndrome de fatigue chronique :
« Cher Docteur C.
Je prends enfin le temps pour vous remercier de m’avoir traité pour les métaux lourds.
Il m’aura fallu une année de traitement (débutée en Belgique chez votre confrère Verheyen) et une autre chez vous pour enfin arriver au bout du « nettoyage « : C’est en passant du DMPS au DMSA en avril dernier que les changements au niveau santé se sont révélés plus concrets.
Mes nombreux maux (fatigue chronique, énergie à zéro, maux de crâne, nausées quotidiennes, vertiges, troubles du cœur…et j’en passe) se sont apaisés et j’ai enfin retrouvé une vie presque normale.
Je vous avoue qu’il y a deux ans, je n’y croyait plus du tout après être passé, pendant plusieurs années dans les mains de nombreux médecins et spécialistes en tout genre qui n’avaient pas de réponse hormis le fait de dire que mes symptômes étaient la conséquence d’un burn-out et que je devais voir un psy.
Ce que j’ai fait bien entendu, pour m’entendre dire que j’étais sain d’esprit, que mes problèmes psychiques n’étaient pas dus à un burn-out, qu’il devait y avoir une cause physique à l’origine de mes maux.
Je n’ai pas peur de dire que vous avez sauvé une vie. (J’étais au bout d’une longue errance médicale et d’un chemin de croix de près de 7 années)
Merci de tout cœur pour ce que vous faites, X. de B. »
Le troisième témoignage c’est celui de la mère d’une adolescente dépressive avec un syndrome d’Asperger :
« Cher Dr. C.
J’aimerais tout simplement vous remercier pour votre aide.
Au début de cette année, ma fille n’était pas bien, elle faisait une dépression.
À l’adolescence, elle avait eu quelques difficultés d’interactions sociales avec ses camarades de classe et pour cette raison, nous avions consulté et appris qu’elle était atteinte d’un syndrome d’Asperger.
Au début de cette année, elle n’allait pas bien du tout et prenait des antidépresseurs depuis deux mois.
Vous ne pouvez pas imaginer comme nous étions tristes et épuisés. Nous sommes venus vous voir.
Nous avons demandé la détoxication des métaux lourds.
Elle a fait des séances de DMPS et du DMSA.
Aujourd’hui elle va bien, elle sourit, elle a retrouvé ses anciens amis, réussi son permis de conduire et commence cette semaine ses cours à l’Université.
Cher docteur, je vous remercie de tout mon cœur et je vous serai infiniment reconnaissante pour tout ce que vous avez fait pour ma fille.
C.C »
Le quatrième cas est aussi très parlant, c’est celui d’une patiente atteinte d’affection rhumatismale qualifiée de fibromyalgie.
Elle avait beaucoup de peine à se déplacer si ce n’est à l’aide de deux cannes, voici son témoignage :
« Suite à la lecture du livre de François Cambayrac j’ai décidé d’entreprendre des soins par chelation auprès du Dr C..
Avec son soutien, ses conseils, ses prescriptions,ma santé s’est considérablement améliorée.
Avant les chélations, j’avais beaucoup de douleurs de fatigue, je ne pouvais plus rien faire, même plus conduire ma voiture.
Aujourd’hui, après un an et demi de traitement et de régime, j’ai repris mes activités, la randonnée, le roller, la moto, ma grande passion.
J’ai un nouvel emploi avec une amplitude de onze heures par jour dont deux heures de trajet. C’est vous dire la forme. Que du bonheur.
Merci, C.K. »
Pour la dernière séance de chélotherapie, la patiente est venue, en moto, de Monbelliard (dans le Doubs), à trois heures de route, avec son mari à l’arrière de la moto.
Je ne saurais terminer ce bref exposé sur la chélotherapie sans parler de l’EDTA, chélateur extrêmement efficace, pour le Plomb, le Cadmium, l’Aluminium, le Gadolinum et le Calcium.
Les études TACT1 (Trial to Assess Chelation Therapy) et TACT 2 ont démontré le bien fondé de cette thérapie dans les problèmes vasculaires surtout ceux liés aux complications du diabète.
La chélothérapie est une thérapie d’avenir indispensable.
Pour finir, je citerai le grand philosophe allemand Arthur Schoppenhauer (1788-1860) :
« Toute grande vérité passe par trois phases: Elle est d’abord ridiculisée puis violemment combattue avant d’être acceptée comme une évidence ».
Dr Daniel Chervet
Article paru dans le Matin Dimanche
21 mai 2017
La médecine n’est pas une science exacte, c’est bien connu c’est un art dit-on.
L’Art c’est aussi la capacité de regarder, de ressentir, d’écouter.
Écouter la souffrance des patients, ne pas penser que l’on « sait », est plus que fondamental.
On ne peut pas éliminer l’hypothèse d’une maladie de Lyme sur une sérologie négative. Cela est dû au fait que ces bactéries (spirochètes) vont se « cacher » dans des biofilms ou à l’intérieur des cellules où elles ne sont plus atteintes par les anticorps.
Dès lors, même en cas de sérologie négative, en cas de suspicion, on est en droit de faire un traitement d’épreuve avec un antibiotique, voir des huiles essentielles qui dans la plupart des cas vont donner de bons résultats mais on n’est pas en droit « d’étiqueter » le patient de malade psychique ou de « fibromyalgique » qui n’a pas de signification et qui se traite par des antidépresseurs!?
Dr. Daniel Chervet
Article paru dans le Journal of the American college of Cardiology
20 mai 2016
Métaux lourds, les bénéfices inattendus de la chélothérapie dans les maladies cardiovasculaire
Cette étude résume les preuves de deux lignes de recherches que l’on pensait initialement indépendants.
Les résultats positifs, de façon inattendue, du TACT (Trial pour évaluer la chélation) et un ensemble de données épidémiologiques démontrant que l’accumulation de métaux biologiquement actifs tels que le Plomb et le Cadmium est un facteur de risque important pour les maladies cardiovasculaires.
L’ensemble de ces études peut conduire à l’identification des nouveaux facteurs de risques pour les maladies cardiovasculaires arthériosclérotiques.
Cette études examine l’histoire de la chélothérapie a travers le rapport TACT. Elle décrit ensuite les recherches de corrélation entre des niveaux élevés de métaux lourds dans le corps avec le risque futur de maladies cardiovasculaires.
Elle conclut en présentant un bref aperçu des nouveaux essais, planifies par les Instituts Nationaux de la santé, le TACT2, dans lequel, il va être tenté de reproduire les résultats de TACT et de confirmer que la suppression des métaux toxiques d’organisme est une explication mécanistique plausible pour les bénéfice établis des traitements à L’EDTA (chélothérapie).
> Consulter l’article
Conférence donnée par le Dr. Sergio Mejia Viana MD, Ph.D à l’occasion du International Conference on Cardiovascular Medicine
Manchester, août 2016
Les métaux lourds ont un rôle fondamental dans l’artériosclérose. Depuis Framingham, nous avons blâmé le faux coupable.
L’artériosclérose est une maladie immuno-inflammatoire chronique.
Ce n’est pas seulement des dépôts de cholestérol. Les résultats des différents études démontrent que l’altération de l’expression de miRNA semble jouer un rôle crucial dans les lésions vasculaires induites par les métaux lourds.
Le Cadmium et le Plomb sont des éléments qui vont générer une inflammation du système vasculaire.
Le corps fabrique du cholestérol pour une bonne raison.
Le cholestérol est un constituant primordial qui protège les membranes cellulaires.
La relation entre le Plomb et les maladies cardiovasculaire a été reconnu depuis des années.
Une étude récente a démontré que le Cadmium est un risque cardiovasculaire pour les coronaires.
L’exposition à différents polluants environnementaux a été reconnue pour induire des modification inflammatoires et épithéliales caractérisées par le relargage de cytokines pro-inflammatoires.
> Regarder la conférence
Vidéo How Mercury Causes Brain Neuron Degeneration
University Of Calgary